• Comme je l'ai écrit précédemment, travailler en bas de 18 ans fait de nous des meilleurs citoyens. En travaillant, nous développons notre autonomie. Un travail, même lorsque s'en est un d'étudiant, demande de l'organisation, car nous devons apprendre à gérer notre temps. Nous devons nous responsabiliser, parce que notre employeur n'acceptera aucun écart de conduite. De plus, travailler à un jeune âge nous permet de comprendre le marché du travail. Ainsi, nous serons plus préparés et aptes à prendre des décisions lorsque nous arriverons dans celui-ci. Ce milieu nous paraîtrait bien vague si nous n'aurions pas le droit d'en faire parti à un bas âge.

     

    Dans un autre ordre d'idées, travailler lorsque nous sommes étudiant nous est bénéfique au niveau économique. Les parents n'ont pas toujours le capital nécessaire afin payer tout nos besoins. Le prix des études vient d'augmenter et l'appui financier du jeune, bien que minime, est très important pour certaines familles. D'autre part, le jeune pourra participer à l'économie. La société de surconsommation dans laquelle nous vivons, appelle tous les habitants à acheter. Les adolescents représentent un public cible intéressant et aideront donc l'économie du pays à rouler.


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  • Depuis quelques années, un mouvement prend de plus en plus d'ampleur. Passant de quelques hurluberlus à une panoplie d'adeptes, la popularité des sports extrêmes ne cesse d'augmenter. Ces sports pratiqués pour les émotions ressenties suite au face-à-face avec le danger comportent vraisemblablement un haut risque de blessures. Devrions-nous, à l'aide de l'argent des contribuables, payer les soins reçus par ces athlètes? Je crois que oui. Le fait qu'ils paient des impôts tout comme nous et que ce n'est pas une partie considérable de l'ensemble des dépenses du système de santé sont des pistes de solutions nous aidant à répondre à cette question.


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